dimanche 27 décembre 2015

Cosméto futuriste





J'ai une réelle passion pour les machines et les gadgets qui vont avec et même si je suis loin de tout acheter, je suis plus fourmi que cigale, je suis de près les nouveautés.


Alors là j'ai vu le tip top de la cosméto maison qui réponds au doux nom de "Figure", il y avait déjà la machine Naturalis, dont je ne m'étais jamais résolue à acheter, mais qui m'avait fortement inspirée, puisque j'avais déjà essayé avec un saucier d'occasion, puis désormais je me sers d'un émulsionneur de lait, dont je suis très satisfaite, car il me fait double usage, création de crème cosmétique émulsionnée parfaitement et émulsion du lait, super pour des desserts.

Mais cette machine est totalement différente, d'abord elle est créée par une startup française et fabriquée en France, à l'heure d'aujourd'hui ce n'est pas rien pour moi, je dis cocorico.

De plus, elle est connectée, au téléphone portable, ordinateur, bracelet connecté....elle concocte des crèmes de soins vraiment sur mesure adaptée à votre peau, en tenant compte de plusieurs paramètres et même de la météo et pollution que vous avez dans votre coin.

Elle marche comme une machine à expresso, avec dosettes, là en l’occurrence ce sont des capsules d'actifs à rajouter au moment T, des bases, les capsules et les bases sont bien sur payantes.



Mais il suffit de connecter l'appareil, de mettre la base et l'actif recommandés, dans la machine et la formulation de la crème sur mesure commence. Pas plus compliqué que faire un expresso avec des dosettes La machine expresso vous sort un café, Figure vous sort votre dose du jour de crème beauté à tartiner.

L'appareil à un coût, autour de 500 euros, plus le prix des capsules et bases. Pour moi, il n'est pas question de l'acheter, mais je ne trouve pas excessif le prix de cette machine, déjà c'est français, le design est joli, elle est très facile d'usage et elle est connectée donc permet de personnaliser son soin, ce qui pour moi en fait un produit de luxe, qui n'a pour l'instant pas d'équivalent.

Après, c'est comme pour les dosettes de café, reste à savoir si les produits sont de qualités.

C'est un appareil qui pourrait me séduire, faire sa "crème connectée" cela aurait tout pour me plaire, mais moi qui fait mes macérât, hydrolats, avec les produits de mon jardin, je n'en ai pas vraiment l'utilité, mais pour les obsédés de l'hygiène , c'est vraiment parfait, les rébarbatifs à faire leur crèmes maison (trop compliqué, chronophage de temps...), là cela se fait tout seul et puis tous ceux qu'ils veulent une crème maison très perso, sans prise de tête.

Par contre c'est un bel investissement financier, coût de la machine plus ses produits.

samedi 26 décembre 2015

Joyeuses fêtes



Joyeuses fêtes de fin d'année à vous tous qui passez par là et mes fidèles lecteurs.

J'espère que les fêtes de noël se sont bien passées et que le père noël a été généreux.

jeudi 24 décembre 2015

Boeuf épicé mijoté et sauce au kéfir de lait



Au départ, il était prévu un boeuf bourguignon, seulement des poivrons attendaient dans le bac à légumes, changement d'avis et j'opte pour un boeuf un peu épicé et avec des poivrons et une sauce au lait de kéfir pour adoucir tout ça.

environ 600 g de boeuf à braiser
100 g d’échalote
2 gousses d'ail hachées
200 g de pommes de terre
3 poivrons
75 ml de vin rouge et 1 cuillère à soupe de madère
1/2 litre de bouillon fait avec un cube
1 cuillère à soupe de farine
1 cuillère café de miel

3 cuillères café de paprika en poudre
1/2 cuillère à café de cumin en poudre
1/2 cuillère à café de thym du jardin haché
1/2 cuillère à café de marjolaine du jardin hachée
1/2 feuille de laurier

Pour la sauce :
crème allégée
kéfir de lait




Dans une mijoteuse ou cocotte, moi mon wok qui fait mijoteuse, faire revenir doucement les échalotes dans un peu d'huile.

Tout en surveillant pendant ce temps, couper la viande, les pommes de terre pelées et les poivrons nettoyés de leur graines, en morceaux.

Réservez les échalotes qui doivent être transparentes et faire revenir à la place les morceaux de boeuf feu plus fort pour les faire dorer, puis réserver.

Dans la mijoteuse, on met les échalotes réservées, l'ail haché, les épices et on fait revenir doucement en tournant avec une cuillère pour développer les odeurs.

Toujours en remuant on ajoute le thym, marjolaine, laurier, puis la farine et on mouille avec le vin, le madère et le bouillon en montant la température  et ce, jusqu'à ce que ce soit frémissant.

On termine, en ajoutant la viande que l'on avait fait dorer, les poivrons et les pommes de terre et le miel, puis mijotage du tout environ 1 heure 30.

Servi chaud avec un mélange, fait à l'aide d'une fourchette, de crème allégée avec du lait kéfir, qui nous donne une petite sauce légèrement aigre.

 Très bon, surprise de mon homme qui attendait le boeuf bourguignon annoncé, mais n'a pas n'a pas été déçu par le gout de cette préparation qu'il a trouvé très bonne.


samedi 19 décembre 2015

Un peu d'étymologie





Il est amusant parfois de connaitre l'origine des mots. par exemple, qui connait l'origine du mot "Budget" qui pourtant aujourd'hui est un mot bien d'actualité, on entends journellement parler du budget de la France et celui du mot "confort" lui aussi revendiqué de plus en plus dans notre monde moderne.

Le mot "Budget" vient du mot français "bouge" qui à l'époque était un petit sac de cuir et qui avait un diminutif "bougette" soit petit sac.

Mais le mot anglais "budget" s'est d'abord appliqué au sac du trésorier (on est toujours dans une histoire de sacs), une bourse dans laquelle on mettait de l'argent, donc pour faire ses comptes on ouvrait le budget, la fameuse bourse.

Puis avec le monde des finances le mot à pris le sens qu'aujourd'hui l'on connait.


Un autre mot, d'un autre genre le mot "confort" un  certain Stève Sainderichin, en donne cette explication :

Il vient du français "confort" qui désignait au Moyen-âge, "ce qui donne de la force" et jusqu'au XVII siècle, on disait « conforter » (donner de la force), alors qu'aujourd’hui il ne subsiste plus que le mot « réconforter » (redonner de la force). Le mot « confort » a donc voulu dire autrefois en français, secours, aide, d’où confortable, secourable. 

C’est dans ce dernier sens que le mot, sous sa forme « confort » a d’abord été employé en anglais avant de nous revenir avec le sens de bien-être.

Il ne faut pas oublier qu’avec les anglais nous avons une longue histoire, cela a été pendant longtemps,  je vais chez toi, tu viens chez moi,  et cela tout au long de l’histoire, jusqu'à que les anglais deviennent nos alliés. 

C'est pour cette raison, le vas et viens entre nos deux pays, que nous avons certains mots nés en France, repris en Angleterre, puis revenus chez nous parfois avec un autre sens que celui d'origine ou le contraire un mot anglais repris chez nous, puis retourné en Angleterre avec parfois en sens complètement détourné.


dimanche 13 décembre 2015

Gratin de fruits





8 petits fruits macérés dans du rhum
3 oreillons d'abricots égouttés en boîte
2 petites poignées de fruits rouges surgelés
2 cuillères café de vin de figues du jardin maison
2 jaunes d'oeufs
1 cuillère à soupe de crème allégée
2 cuillère café de sucre stévia
1 cuillère à soupe rase de jus de la boîte d'abricots

Fouetter les oeufs avec le sucre, puis avec la crème, puis le vin de figues que l'on peut remplacer simplement par un vin.

Dans des ramequins qui peuvent aller au four, disposer les fruits marinés, les abricots en quartiers et dispatcher les fruits rouges surgelés

Puis pour finir mettre sur le dessus du sucre stévia qui est très fin ou sucre glace, placer sous le gril du four quelques minutes.

Servir tiède.

J'aurai aimé faire ces gratins dans des pots que l'on se sert pour faire les crèmes catalane, impossible d'y mettre la main dessus, donc cela a été dans des pots récupérés, plus profonds mais moins larges, mais qui passaient au four.

Enfin l'essentiel, c'est que c'était bon et que cela a fini agréablement le repas.